“Depuis plusieurs années, des services et techniques d’investigation et de surveillance consacrées aux personnes engagées contre l’action du gouvernement se développent, alors que d’autres pans, pourtant prioritaires, comme les violences sur mineur·es, restent largement sous-traités. Parallèlement, et de manière tout aussi inquiétante, le contrôle judiciaire comme parlementaire de ces derniers est loin d’être à la hauteur des enjeux démocratiques.”
Découvrez la tribune d’Anthony Caillé, secrétaire général de la CGT INTÉRIEUR dans la revue Délibérée #23 – Poursuivre les luttes.
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